
Mon réveil fut douloureux : j’étais en train de rêver que j’enseignais à nouveau à de jeunes enfants. Je ne cessais de cumuler erreur sur erreur. Un jeune inspecteur est entré. Beaucoup de douceur se dégagent de lui. De mon côté je m’empètre dans les difficultés, les enfants n’écoutent rien, la situation devient intenable. Je vois bien que ma situation reste indéfendable, que je dois abandonner Je ne peux même pas rejeter la faute sur l’inspecteur plein de bienveillance. C’est un peu ça ma vie, des tentatives de brouillon, inachevées, mon créateur ne me juge même pas, regarde avec bienveillance et m’invite à rester humble, reconnaître mes erreurs et ne pas chercher à convaincre qui que ce soit avec des raisonnements bancals.
Au réveil je regarde mon téléphone, un ami m’envoie des vidéos sur un sujet d’actualité. Je ne peux pas m’empêcher de prendre le contre-pied et lui envoyer un article long comme le bras. Quel manque de sagesse ! Je dois éviter ces pièges de vouloir convaincre. Ces débats stériles qui n’apportent rien. L’opinion surenchérit l’opinion. Ce sont des pollutions mentales qui empêchent l’action juste.
Ccontinuer à nettoyer ce qui doit l’être.
Lu ce matin : « tu m’apprends le chemin de la vie : devant ta force, débordement de joie ! À ta droite, éternité de délices. »
Psaume 16.

Merci Père céleste de continuer à m’enseigner.